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#horreur
gaycactusscoundrel · 1 year
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Anybody know some good horror podcasts or short films?
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fidjiefidjie · 8 months
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🙏 🗼 🇮🇱
“Pour parler de la guerre, Il n'y a que des larmes.”
Henriqueta Lisboa
Source: Faustinezaretti
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cineclub84 · 1 month
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Pulsions, 1980
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Kate Miller souffre de fantasmes érotiques si vivaces qu’elle a du mal à faire la part du rêve et de la réalité. Un matin, elle se rend chez son psychiatre, Robert Elliot, pour lui parler de ses déceptions sexuelles avec son mari. En se rendant au musée, Kate séduit un homme qui l’emmène dans son appartement pour y passer la nuit. Le lendemain matin, en prenant l’ascenseur pour quitter l’immeuble, Kate est atrocement assassinée à coups de rasoir par une femme blonde portant de grosses lunettes noires.
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Liz Blake, une call-girl de haute volée, est témoin du crime : elle a aperçu la tueuse au rasoir. Le jour suivant, au commissariat de police se retrouvent le docteur Elliot, Peter Miller, le fils de Kate, et Liz Blake. Tous les soupçons retombent sur Liz. Dans les jours qui suivent, la call-girl est traquée par la tueuse blonde, mais Peter réussit à la sauver in extremis. Le fils de Kate, spécialiste en électronique, met au point une caméra qui lui permet de découvrir que la tueuse est une patiente du docteur Elliot. Afin de découvrir le nom de la malade, Liz essaie de charmer le psychiatre afin de dérober son carnet de rendez-vous…
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Sous forme d'hommage à Hitchcock, Brian de Palma nous livre avec "Pulsions" un thriller angoissant et à mon sens l'un de ses tous meilleurs long-métrage. De Palma reprend la trame narrative du chef d'oeuvre d'Hitchcock "Psychose", mais ne tombe pas dans le copié collé en livrant une oeuvre incontestablement très personnelle. Le réalisateur américain a un faible pour les marginaux qu'il exploite une nouvelle fois dans "Pulsions". De Palma a l'art de mettre en scènes des personnages atypiques et habituellement stigmatisés, dont il fait ressortir le meilleur, en attachant beaucoup d'importance à ne pas porter de jugement sur eux. On pense naturellement tout de suite à Nancy Allen qui interprète une prostitué mais aussi au personnage de Kate Miller, une mère de famille en apparence bien sous tout rapport qui refoule ses pulsions pour justement ne pas être marginalisé à son tour. "Pulsions" est un film qui met en scène des personnages, dont les actes sont jugés moralement condamnables par la société, mais que De Palma présente paradoxalement comme les être les plus humains dans une société décharnée et hypocrite. Le film est donc en ce sens porteur d'un message intéressant et propose en plus de véritables séquences de tension très réussies (la scène du musée est exceptionnelle à ce niveau là). On est pris au jeu du début à la fin, régalé par un film aussi juste dans sa mise en scène que dans son écriture. De Palma s'amuse en rendant cet hommage au maitre du suspense et livre un film pleinement abouti à ne pas manquer.
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Dressed to Kill (1980) ORIGINAL TRAILER
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bizarreauhavre · 6 days
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Guillotine with figure.
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mazeofthemartyr · 7 months
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Lies of P
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dummygothicc · 1 year
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okay so it (2017) is wonderful and homosocial and full of found family and teenage pining and genuine horror but it (1990) will always have my heart for being truly fucking unhinged
like...you want tim curry with long yellow fangs and baggy trousers? endless wacky scene transitions? genuinely mediocre performances from adults and genuinely moving performances from kids? seth green being the tall one for once in his manlet life? corn syrup thrown around like fucking confetti? it (1990) has it all
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affiches-cinema · 2 months
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Poltergeist, 1982.
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alexar60 · 10 months
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Monstres
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Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées,  le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il réalisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait.  Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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artisteflo · 1 year
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Andy's apple farm : (Paul's nightmare) Peter's Past (The Transformation) 3/3
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I know it's very weird that we see Peter wearing glasses, normal, because maybe he wore glasses because he couldn't see very well with his eyes, when he was human! After who became a demon plus his character who invented him, when he was little, he now sees very well without his glasses!
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multiprises · 10 months
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Doma Smo, The Walking Dead: Dead City, 1.06
Gandja Monteiro (D), Eli Jorné (S), 23/07/23
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castielheartless · 1 year
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Illustration which represents in my style the video game Ib.
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darkmovies · 4 months
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A Quiet Place: Day One (2024) Date de sortie : 28/06/2024 Réalisateur : Michael Sarnoski Scénario : Michael Sarnoski, John Krasinski, Bryan Woods Avec :  Denis O’Hare, Djimon Hounsou, Joseph Quinn
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malonesilence · 6 months
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Quelques éléments du tome 2 de Stanley n'est pas mort, Les Pleurs du Vide.
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cineclub84 · 2 months
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Sisters, 1972
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Danièle Breton rencontre Phillip à un jeu télévisé. Elle le séduit, le ramène chez elle puis couche avec lui. Le lendemain, l'amant entend une dispute entre Danièle et sa soeur jumelle. De sa fenêtre, la journaliste Grace Collier voit Danièle l'assassiner sauvagement. Elle... ou sa soeur jumelle ? Grace appelle la police, qui ne la croit pas, et décide donc de mener sa propre enquête. Seulement, derrière ce meurtre se cache une incroyable et monstrueuse histoire d'amour qui va vite se transformer en cauchemar pour la journaliste...
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Brian De Palma est un réalisateur surprenant car il peut autant vous délivrer un cinéma fascinant qu'un navet autrement dit il est instable. Toujours est-il que celui-ci appartient à la première catégorie. Oscillant entre Hitchcock et Argento, Brian De Palma rédige et signe un thriller effroyable, possédant un scénario de très grande qualité et qui plus est regorge de rebondissements. Le film relate l'histoire de deux soeurs siamoises, l'une agréable et l'autre agressive. Sans vous dévoiler le fin mot de l'histoire, il faut vraiment saluer le travail de mise en scène du réalisateur américain. S'appuyant sur une musique terrifiante de Bernard Herrman, Brian De Palma instaure une ambiance malsaine et délivre des plans étonnants ce qui a fait sa réputation de plus grand cadreur de tous les temps, inventant l'image coupée en deux afin de suivre simultanément deux scènes ou évènements. Un film qui débuta le domaine du cinéma d'horreur aux Etats-Unis. Si le film a aussi bien vieilli, c'est parce que le film ne possède aucun temps mort et que le réalisateur allait s'affirmer comme l'un des réalisateurs les plus efficaces de tous les temps. Traduisant le malaise entre deux soeurs siamoises, le film est un formidable témoignage pour défendre cette catégorie de personnes qui appartient à la rareté. Mettons-nous à leur place. Est-il facile déjà d'avoir un jumeau ? Et est-il encore plus facile pour une personne d'être condamnée à rester collée à elle pour le reste de leur vie ? La chirurgie moderne permet aujourd'hui que ce problème génétique soit bien traité mais uniquement dans certains cas! Imaginons que deux frères jumeaux soient collés au cerveau, peut-on leur apporter cette aide précieuse qui est basique pour nous qu'est l'intimité ? Thriller virtuose, réalisation parfaite, sujet rarement abordé dans l'histoire du septième art, ce film permet au spectateur de penser qu'il peut se sentir heureux d'être seul et de ne pas souffrir de schizophrénie. Un excellent long-métrage !
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Official Trailer - SISTERS (1973, Brian De Palma, Margot Kidder, Charles Durning)
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bizarreauhavre · 3 months
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The wolves night club, 1948, (surrealist movie).
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mazeofthemartyr · 7 months
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Lies of P
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