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#peinture vivante
praline1968 · 1 month
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l-yggdrall · 4 months
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mes petites sessions model vivant à la peinture à l'huile
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musographes · 1 year
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Modèle assise dans un fauteuil se coiffant, par Édouard Vuillard
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Les modèles n’ont pas pour coutume de se défaire de leurs habits de ville ni de les remettre devant tout le monde. Au contraire, pour ces affaires, ils se cachent derrière un paravent. Évidemment, cela limite les possibilités de mise en scène, d’où le fait que cette réalité soit souvent occultée des images et récits présentant l’activité de modèle (comme on verra demain).
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elisa-s-world · 3 months
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Parce qu'une expo ne s'improvise pas...
Exposition collective OÙ SUIS-JE Commissariat : Elisa Courtois
Galerie @hangart410 St-Pierre  Du 12 Mars au 29 Avril 2023
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prosedumonde · 2 months
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Je cherche une présence. Un indice. Quelque chose qui la rendrait vivante, les traces d'une voix plus intime, de celles que l'on trouve dans les lettres – selon Voltaire, l'écriture est la peinture de la voix.
Astrid de Laage, De la main d'une femme
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orageusealizarine · 5 months
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étalant des jaunes d’œuf sur mes seins, je pense obsessionnellement et indifféremment à Simone et Van Gogh. pour l'une, je crève des œufs. je casse des yeux. jusqu'aux couilles, aux globes, aux corridas, aux sacrifices. couille, fouille, mouille... la liste demande à être creusée (à être fouillée - et le corps, excavations brutales, totales). je démembre tranquillement le réel en cherchant la jouissance immédiate que je sais à portée de mots et de mains. c'est pourquoi je suis la Reine des Bois. fertilité atroce. je choisis la dépense inutile. la perte qui m'est faite et que je fais faire à la consommation, à la procréation m'éjouit. et me terrasse - radicalement.
à Nemi, j'égorge le prêtre qui célèbre Diane. mais je ne suis pas une meurtrière, je fais l'expérience d'une mort. je fais l'expérience de l'amour, dans les bois, dans le sang, dans le miel et les jaunes d’œuf. mais la chasteté de l'astre a des odeurs de sang. le soir où... le ciel est constellé de sève et l'horreur se dissout dans la verdeur de mes yeux.
lucus, bois sacré où je me perds. à force de fièvre. à force de sensualité. je règne dans ces bois où la cruauté du soleil ne perce pas. allongée, j'attends l'assaut. et le crime qui délivre. puisque le roi est dans le bois, la seule personne que l'on peut tuer impunément. le sommeil ne ternit plus la nuit. je lance les dés, concrétions du destin que l'on tient dans la main.
pour l'autre, c'était la peinture vivante du bonheur. j'étalais du soleil sur ma peau. lui, dans l’obscurité de son esprit, ingérait la joie. chaude et crémeuse coulure jaune qui laisse à la chair sa transparence. profondeur de l'Inconnu. dans laquelle se vautrer, puisque la réjouissance est généreuse. et sans restriction. j'ai perdu toute limite.
mais je veux boire votre sang à votre bouche. au nombre de douze, les tournesols rendent ivres et sont des émanations d'enfantement. sur un plateau, nous coupons toutes leurs têtes. et les bouquets dégorgent entre mes doigts. nectar ému d'être perdu pour la germination.
je suis nue dans les blés et les parfums ocres. des gouttes d'ambre sur les joues et des anneaux d'or à tous les doigts, ils versent la lumière sur mon corps. pour quel sacrifice ? dans les bois, j'ai aimé. l'odeur crue menait au fin fond du rêve. et les œufs sont restés sur ma peau.
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yama-bato · 1 year
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Francisco Gonzalez Camacho
“ Fasciné par les œuvres du Japonais Masao Yamamoto, Francisco Gonzalez Camacho construit à son tour des compositions minimalistes, où les êtres vivants et les éléments deviennent des ombres chinoises, perçant l’horizon lointain de leurs silhouettes abruptes, graphiques. Ainsi, dans cet univers onirique, toute certitude s’efface, et le 8e art convoque la peinture et l’estampe, comme autant de tableaux abstraits bâtis à coup d’émotions. Un rapport à l’environnement évoquant également les sublimes compositions de Paul Cupido ou encore du duo Albarrán Cabrera. “( https://www.fisheyemagazine.fr/rdv/livre/francisco-gonzalez-camacho-reve-dune-nature-paisible/ )
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lounesdarbois · 3 months
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Renoir est l'un des derniers peintres à avoir restitué avec exactitude les caractères physiques particuliers du peuple français. Ses peintures sont imprégnées certes de tout ce que l'on sait déjà: la fraîcheur d'un bal ici, la gravité des attitudes là, le bonheur ménager encore ailleurs, mais elles vibrent surtout d'un trésor que nous oublions de regarder à force de le voir c'est la beauté physique au milieu de laquelle nous vivons. Le peuple français est un peuple d'une très grande beauté physique. Renoir a pris soin de rendre le plus fidèle hommage possible à la spécificité de ces yeux profonds, de ces figures symétriques, de ces teints très purs, de cet ordonnancement d'une race déployée sur son pays comme des couleurs sur un nuancier. Un équilibre tel, une variété telle que toute irruption étrangère n'y apporterait rien qui ne s'y trouve déjà, n'y enlèverait rien qui ne soit perdu pour toujours. D'autres peintres du 19ème siècle ont entrepris ce travail inconscient qui consiste à répertorier le peuple et son territoire, ce sont les Monet, les Bouguereau, les gens de l'école de Barbizon et du soi-disant style "pompier" dont les critiques d'art ont dit tant de mal. Renoir est au plan de l'exactitude figurative une sorte de point d'orgue à ce type d'entreprise, et au plan chronologique un point final.
Plus le temps ira plus ces peintres deviendront malgré eux subversifs, leurs oeuvres prenant la forme de vivantes accusations portées contre l'ivresse contemporaine de se rouler dans la boue et la merde, contre ce goût inverti de descendre vers le singe, de dégrader ce que l'on porte en soi, penchant dont Baudelaire avait démasqué les rapports souterrains avec le satanisme. Le legs de ces artistes deviendra alors l'arche d'alliance du dépôt divin que porte en soi le peuple français et plus largement toute la race blanche. «Le Blanc, c'est la sérénité, la pureté, le divin» (Morand), vérité que connaissent toutes les aires géographiques et toutes les religions du monde. Combien de barbares se sont voilés la face en pleurant lorsqu'ils ont vu chez eux débarquer les Aryens, croyant reconnaître les dieux dont parlaient leurs propres traditions? Sagesse de leur crédulité car l'Histoire est l'histoire d'une chute, l'histoire de la Chute. Combien d'adeptes de combien de religions vont à leurs pèlerinages respectifs drapés de vêtements blancs, depuis les Pythagoriciens de l'Antiquité? Le Blanc c'est le divin et Pierre-Auguste Renoir porte jusque dans son nom de famille l'hommage que l'ombre doit rendre à la lumière, clin d'oeil que Dieu nous adresse par ce peintre merveilleux.
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whencyclopedfr · 21 days
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Jan van Eyck
Jan van Eyck (1390-1441) était un peintre néerlandais de la Renaissance, célèbre de son vivant pour sa maîtrise de la peinture à l'huile, de la coloration, des scènes naturalistes et son sens du détail. Parmi ses chefs-d'œuvre figurent le Retable de Gand de 1432, également connu sous le nom d'Adoration de l'agneau mystique, et Les époux Arnolfini, un tour de force en matière d'illusions d'optique. Pionnier de l'utilisation de l'huile pour obtenir des effets réalistes, son œuvre influença l'art de la Renaissance, mais surtout les artistes italiens de la seconde moitié du XVe siècle.
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crown-of-serpents · 8 months
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Les Enfants Vagabonds
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Magie - Nécromancie et Oniromancie
Bonus ÉNERGIE NOCTURNE : La nuit renforce leur magie. Iels ne sont pas sensibles aux phases de la lune contrairement aux hydromancien.ne.s, mais son absence totale pousse leur magie à son zénith. Malus PHOTOSENSIBILITÉ : Une forte sensibilité à la lumière naturelle du soleil, mais également à la lumière artificielle trop vive. Iels attrapent facilement des coups de soleil, et peuvent vite être aveuglé.e.s.
Nécromancie - Palier I : Récits d'outre-tombe : Capacité à se connecter aux souvenirs des défunt.e.s par contact avec un objet leur ayant appartenu. Iels peuvent déclencher des visions et revivre de très courts instants de leur vie. Envoûtement mnémonique : Capacité à mémoriser tout ce qu'ils perçoivent de manière détaillée. En fonction des individu.e.s, cette hypermnésie est soit auditive, soit visuelle (mais jamais les deux en même temps chez une seule personne). Mort fictive : Capacité à simuler sa propre mort jusqu’au moindre stimuli du métabolisme, ce qui permet d'échapper à l'ennemi ou d'infiltrer des endroits interdits. Palier II : Histoire éthérée : Capacité à parler aux âmes défuntes de manière temporaire. Cette médiumnité, ou communication avec l’au-delà, nécessite un rituel spécifique propre à chaque nécromancien.ne (écriture automatique, spiritisme...). Blocage mnémonique : Capacité à bloquer temporairement l'accès à certains souvenirs dans l'esprit des autres, les maintenant hors de portée. Cette faculté ne fonctionne pas sur les autres nécromancien.ne.s, et ne peut excéder une heure. Marcheurs de l’obscurité : Capacité à se fondre dans les ombres pour devenir invisible, et à se déplacer rapidement et silencieusement d'un point à un autre dans les environnements sombres. Ce pouvoir fonctionne très rarement en plein jour ou dans les zones bien éclairées. Palier III : Requiem des ombres : Capacité à manipuler sa propre ombre ou celle des autres à volonté. Cette ombre peut servir à intimider ou entraver l'ennemi, mais également à se déplacer en toute discrétion dans un endroit éclairé. Réanimation nécrotique : Capacité à ramener temporairement un mort à la vie et de contrôler ses mouvements. La résurrection dure quelques minutes, et il n'est possible de ramener qu'un mort à la fois. Distorsion mémorielle : Capacité à altérer les souvenirs des vivants. Les souvenirs peuvent être effacés ou modifiés, jusqu'à les transformer en tout autre chose.
Oniromancie - Palier I : Hypnose onirique légère : Capacité à provoquer une légère somnolence chez autrui par simple contact. Rêverie spectatrice : Capacité à observer les rêves d'autrui de manière non intrusive. Iels ne peuvent donc pas influencer ces rêves, seulement les explorer de leur côté tout en restant discrets. Détection d'illusions : Capacité à discerner les illusions en tant que telles. Ce pouvoir n'est pas infaillible : plus l'oniromancien.ne est jeune, plus iel a de chance de se faire berner par un mirage ou une disparition comme tout le monde. Palier II : Influence onirique : Capacité à influencer légèrement les rêves d'autrui. Iels peuvent en changer partiellement le décor et l'ambiance, ajouter des touches subtiles. Si la personne est totalement consentante, il est même possible de transformer totalement le rêve. Songes prémonitoires : Capacité à voir l'avenir à travers des rêves prémonitoires qu'il leur faut déchiffrer. Les rêves ne sont jamais clairs ; il s'agit plutôt d'indices, d'énigmes à résoudre pour comprendre leur implication. Peinture onirique : Capacité à créer des illusions simples dans le monde réel. Iels peuvent ainsi modifier la couleur de quelque chose, faire apparaître de petits objets et créer des mirages lointains qui disparaissent à l'approche. Palier III : Domination des rêves : Capacité à entrer dans les rêves d'autrui pour les modifier entièrement, sans avoir besoin du consentement de la cible. Iels peuvent également bloquer la cible de manière temporaire dans ce nouveau rêve, l'empêchant de se réveiller pour en échapper (temps maximum : 5 minutes). Murmure des songes : Capacité à endormir autrui en utilisant seulement sa voix. Ce pouvoir permet également de calmer un sommeil agité par les cauchemars sans avoir à pénétrer dans le rêve en question. Mirage sublime : Capacité à altérer sa propre apparence et son environnement de manière réaliste et complexe, pour prendre l'apparence de quelqu'un d'autre ou simplement effacer ses défauts physiques. L'illusion n'est que visuelle ; iels ne se transforme pas vraiment. Ce pouvoir sert également à créer des images miroir de l'oniromancien.ne, qui n'ont pas de substance mais peuvent parler, entendre et voir comme un véritable être vivant. Toucher une image miroir suffit à l'effacer.
https://www.pinterest.fr/cafetemps/crown-of-serpents/enfants-vagabonds-n%C3%A9cromancie-magie-des-r%C3%AAves/
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philoursmars · 11 months
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La semaine dernière, j'ai retrouvé mes amis Julien et Katie à Remoulins dans le Gard (Languedoc). On est allés à Vallon-Pont-d'Arc (Ardèche) visite la réplique de la fameuse Grotte Chauvet dont les peinture rupestres datent de l'aurignacien.
Après la grotte, une galerie où sont restitués les êtres vivants dans les steppes de la région, pendant l'Aurignacien : alternés, voici Homo sapiens, Megaloceros giganteus (le Mégacéros) et Ursus spelaeus (l'Ours des Cavernes)
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solarainyhctiw · 2 months
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Je me prête au jeu grâce à @briselegeredansletemps !
When was the last time you cried : Devant un épisode de Frieren (oui, j'en parle encore). Ah j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps.
Do you have kids : Nope.
What sports do you play/have you played : Petite j’ai fait de la danse, de la gym, de l’équitation, du twirling bâton … et maintenant c’est piscine et vélo.
Whats the first thing you notice about people : Je note rien de particulier ... hormis leurs veines (déformation professionnelle).
Whats your eyes color : J’ai les yeux marrons. D’autres diront que j’ai les yeux couleur Nutella ou celle de l'ambre … 
Scary movie or happy ending : Happy !
Any talents ? : Je … je suppose que oui ? Si on considère que déborder d’imagination et donner le sourire à mes proches sont des talents.
Where were you born : Quelque part dans le nord-ouest … proche de la mer.
What are your hobbies : Le dessin, la peinture, l’écriture en buvant du thé, un peu de lecture quand je ne m’endors pas avant, les balades à vélo, les balades tout court en fait, écouter de la musique, jardiner sur mon petit balcon … même si je n’ai qu’une petite plante. 
Do you have any pets : Une patate poilue que j’aime d’amour !
How tall are you : 171cm !
Favorite subject in school : L’Histoire (et puis le Français et les arts plastiques).
Dream job : Ce n’est pas vraiment un « dream job » mais ce dont je rêve c’est d’être une artiste tatoueuse itinérante, vivant dans un combi réaménagé. Je parcourais les 4 coins de la France, puis de l’Europe et faire le tour du monde pourquoi pas. 
Je devrais taguer des gens mais ces personnes l'ont déjà été donc je laisse les passants reprendre ces questions et d'y répondre si le cœur leur en dit.
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canmom · 1 year
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L'Aventure de Canmom à Annecy - Vendredi 1: Short Films 5
Olá from Portugal! I am recovered from travelling, and it's time to finish my Annecy writeups...
Friday I ended up waking up pretty late, all those late screenings catching up with me. I spent a while writing up Thursday in my hotel before realising that my computer clock was still on UK time. This meant I missed another chance to fruitlessly queue for Mars Express, I missed the new film Toldi by Marcel Jankovics, and I even missed Graduation Films 1 which contained the eventual winner of the category. So, rip. 仕方がない。。。
I got into Annecy just in time to catch the next block of short films. I elected to go to block 5 at Pathé because afterwards I could scoot into Bonlieu for Tunnel to Summer. More on that in a bit lol. Let's cover short films 5!
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We begin with La saison pourpre by Clémence Bouchereau from France. This one was really neat. It's traditional animation in pencil, depicting a group of people, mostly children, who live naked in the roots of a mangrove. It made great use of partial drawings, just enough to recognise you're looking a character's arm or legs or cunt or whatever, depicting the tense interactions as the nameless characters hunt, play, and find themselves threatened by a storm. The sound design is also really strong. I feel like the nudity works for this film, although I could understand having qualms. The characters' eyes are just dots, and their expressions opaque, but the context and the way the interactions are framed expresses plenty of tension and emotion. I can only guess what motivated this film, but it ended up being really absorbing.
Ce qui bouge est vivant by Noémie Marsily from Belgium was kinda eh to me. A woman's voiceover narrates an existential crisis as we get a series of disconnected images, most of which I struggle to remember now (don't do your writeups four days later lol).
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D'une peinture... à l'autre was better than I expected. By this point I saw quite a few films that used a rough oil-painting like effect and a lot of them don't use it very well, but here the paintings - which depict a camera flying around through a painted world establishing (I assume) a context for the two paintings it's about, was solid.
I don't know that I really picked up on the implied contrast between the two paintings, which both depict a reclining naked white woman and a Black woman in two different poses, but I looked them up while writing this post. The first is Olympia by Édouard Manet. Here, the white woman is looking directly at the 'camera' position, and the Black woman is clearly framed as a servant; apparently this painting caused controversy at its time, partly for many symbols that suggest the white woman is a sex worker, partly because she is recognisably a well-known model at the time. The second painting is Le Blanche et la Noire by Félix Vallotton, a response to Olympia; here the Black woman is chilling on the bedside smoking a cigarette instead of trying to present flowers, regarding the sleeping woman on the bed - apparently to suggest the two women are lovers, since this pose would usually be assigned to a man. The animation in the second half progresses in a different direction (right to left rather than left to right) and reframes the scenes from the first half.
I was not familiar with either of these paintings so all I could really do in the moment was appreciate the animation. But tbh I'm kind of glad they didn't put a context card up front because that would make it feel painfully didactic. I wouldn't mind seeing this film again with more of an idea what it's getting at.
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Carne de Dios directed by Patricio Plaza, animated in Mexico and Argentina, was one of the strongest entries in this set. It depicts a priest during the colonial period; at the outset he encounters an indigenous girl running through the field with some mushrooms, which he knocks out of her hand and crushes. But, he falls ill, and finds himself in a church, where an older indigenous healer is preparing to treat him with the same mushrooms. From this point on the film goes full psychedelia; the priest dreams of the statue of Jesus on the cross turns into a giant, who devours him. Inside the guts he finds himself sucking on kaiju!Jesus's nipples and getting fisted by a giant kaiju finger (don't ask why kaiju!Jesus is inside his own stomach). It's strongly presented with traditional animation so if you enjoy ridiculous psychosexual imagery it's a fun one.
The next morning, the priest wakes up after his bad(?) mushroom trip terrified to find the healer seemingly dead; he flees from the area.
The imagery of the priest's dream is interesting, for poking at the weird sort of sex obsession-revulsion in Christianity; it's also better for the film that the priest didn't really Learn A Valuable Lesson or anything. The animation was extremely cool, and I'm definitely immensely curious to see what this team does next.
Love Me True by Inés Sedan from France depicts a woman who gets into online dating, and becomes infatuated with a man who mostly wants to take her to group sex and has very little use for her otherwise. She has a bad time; eventually she turns to other men who treat her as poorly. It's another one that uses rough paint textures and relatively limited animation, set to a voiceover narration. I think I'm coming to feel that voiceovers are a technique that is tricky to use effectively. If they're redundant with the animation, the animation should be allowed to speak for itself.
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27 by Flóra Anna Buda depicts... I think it's a daydream? But essentially a girl in a cramped family situation (her brother catches her masturbating and teases her about it cosntantly) standing at the window and then going out to have a lot of sex. It's got a highly abstracted style where everyone is big old shapes. By this point I was definitely starting to think of short films 5 as the porn block lmao.
Tongue by Yoshida Kaho flashes by in just two minutes. With a very stylised approach to drawing that's basically what they call "corporate memphis", it shows a woman who bites out tiresome mens' tongues and stores them in a box. For feminism, you know. I think it could have stood to be hornier with it, like make the tongue biting really juicy. But that would weaken the metaphor lol.
The final film was Eeva directed by Morten Tšinakov and Lucija Mrzljak from Estonia and Croatia. I needed to scoot out of the theatre early to make sure I could get into Tunnel to Summer, so I didn't see this film. I think it actually got an award so that might have been a mistake if it was really good! The description of it is...
It's pouring down with rain at the funeral. There's a lot of crying, too much wine, several woodpeckers and a couple of dreams that fill in the gaps.
...so make your own guesses as to what kind of film it was.
So, solid collection with a couple of really strong ones. From this point on the day was all anime...
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musographes · 6 months
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Andrew Wieth et Helga Testorf
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"It was, for me, an education … [Wyeth] was being himself like I wanted to be myself, and then sharing it with me." Helga Testorf
En 1986, une nouvelle fit le tour des rédactions américaines et du monde de l’art : pendant 15 ans, de 1971 à 1985, le célèbre peintre Andrew Wyeth avait réalisé une série d’environ 250 aquarelles et peintures à partir d’une seule et unique modèle, Helga Testorf, souvent dénudée dans les toiles, ce à l’abri des regards de sa femme. Et cette collection, tenue secrète quinze durant, allait enfin être exposée. C’était le début d’un durable intérêt pour cette collection. Était-ce par pur amour de l’art ? Voire... L’histoire se présentait sous des atours bien attrayants, où se matérialisait ce fantasme d’une "relation" privilégiée avec une modèle, cachée à sa femme pendant 15 ans, avec le soupçon fatal, inexorable, que Wyeth avait forcément "consommé" au lit cette collaboration avec sa muse aux nattes blondes, avec pour progéniture cette grande collection sur toile. C’était la Fornarina revenue. Toutefois, comme il s’agissait d’une affaire contemporaine et non pas d’un épisode ancien de l’histoire de l’art dont les faits réels seraient rendus invérifiables par le passage des siècles, les journalistes purent enquêter et, au cours de l’écriture même de leurs articles pour Time ou Newsweek, réaliserent que l’histoire était moins prometteuse qu’escompté. 
Helga Testorf, la modèle, était mariée et mère de quatre enfants. Cette vie rangée éloignait déjà le personnage de l’archétype de la muse libre et séductrice. En outre, le mari d’Helga Testorf savait que Wyeth la prenait pour modèle puisqu’il lui avait demandé de ne pas la faire poser nue, un contrat moral que le peintre ne respecta cependant pas. Quant à Mme Testorf elle-même, elle refusa tout entretien avec les journalistes. Restait la femme d’Andrew Wyeth. Il s’avéra qu’elle avait mis en place un arrangement avec son mari, qui consistait à ce qu’il ait un atelier hors de l’huis familial, de manière à qu’il pût y accueillir des modèles sans qu’elle en soit informée de trop près. Elle n’était donc pas complètement aveugle aux collaborations de son mari avec ses modèles. Pire que cela, Wyeth lui fit cadeau dès 1976 d’un tableau représentant Helga Testorf. Seulement, elle y était peinte avec la peau noire ! Alors, Betsy Wyeth était-elle consciente de l’identité réelle de la modèle et de l’intensité de sa collaboration avec son mari ? On se perdra en conjonctures. Toujours est-il que, lorsque la collection fut révélée, en bonne gestionnaire de la carrière de son mari, Betsy Wyeth n’eut pas un mot polémique et alla jusqu'à dire que cet ensemble de peintures relevait de "l’amour"’, une déclaration propre à titiller l’imaginaire de monsieur-tout-le-monde, et aussi à mettre en miroir avec celle d’Helga Testorf, des années plus tard : "Il y a de nombreuses manières de faire l’amour, savez-vous. " Il apparaît en effet que la collaboration entre Wyeth et sa modèle fut d’une humaine intensité, au-delà de tout fantasme déplacé. Toute cette histoire fera dire à certains que Mme Testorf fut le dernier modèle célèbre de la modernité. 
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elodieamet · 5 months
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COEUR VIVANT
Peinture sur toile tendue sur châssis de forme / 50x60x4cm
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Saype, né Guillaume Legros, est un artiste français vivant à Bulle, en Suisse. Artiste autodidacte, les œuvres d’art biodégradables géantes de Saype ornent les champs, sont mieux vues par les drones et ne durent que quelques jours. L'artiste est représenté par MTArt Agency depuis 2018. Débutant sa carrière en tant que jeune graffeur, le travail de Saype a rapidement été reconnu et est devenu très recherché, ce qui lui a valu sa première exposition en galerie à l'âge de 16 ans. Saype est un pionnier du land art. mouvement, se concentrant sur des peintures biodégradables à grande échelle avec des messages sociaux forts
September 22 2023
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