Tumgik
#zone commerciale
fredericbrumby · 2 days
Text
Tumblr media
Décor urbain
Zone commerciale
Rue du Bochet
38230
Tignieu Jameyzieu
4715
34 notes · View notes
tgregoire · 2 years
Photo
Tumblr media
Vinzelles - Saône-et-Loire - Septembre 2022
9 notes · View notes
idereahellyeah · 2 years
Text
Tumblr media
Quand je décide que ma journée sera productive pour avancer sur mes projets et que je reçois une notification de colis dispo en point relay.
22 notes · View notes
lecoavenir · 4 days
Text
La banque centrale, banque des banques
Voix : Clémentine Gallès et Timothée Waxin Texte : Aimé Jean J’aimerais savoir : la banque centrale, Banque des banques On dit parfois que la banque centrale est la banque des banques. Mais avant d’expliquer d’où vient cette expression, peux-tu rappeler le rôle d’une banque centrale ? Bien sûr, une banque centrale est une institution financière chargée de conduire la politique monétaire d’un…
View On WordPress
0 notes
ekman · 4 months
Text
Tumblr media
“Mais vous, ces histoires de paysans... que pensez-vous que cela puisse donner, hein ?” m’interroge le dirigeant d’une boîte de carrure mondiale, dans l’échange “off” que nous nous accordons. Je souris. Ça oui alors, qu’est-ce que ça va bien pouvoir donner, ce dernier carré de mohicans qui bloque des routes pour rappeler à tout un pays qu’ils est entrain de crever, pour de bon ? “Méfiez-vous”, lui dis-je. “Pas sûr que les Français se laissent berner cette fois. Quoi qu’on en dise, ils sont attachés à leur vieille terre.” Je dis cela sans grande conviction ; je n’y crois plus trop. Même si je sais que les Français, produits d’une nation de cultivateurs, d’éleveurs, de maraîchers et de pêcheurs sont profondément attachés à leurs paysages, à leurs cheptels et à leurs vignes, aux plaines ponctuées de bois propices au gibier, aux vallons striés de murets multiséculaires, aux champs tenus en terre par un bocage généreux, aux côtes de granit dentellisées par les vents et le sel... malgré tout cela, que puis-je espérer de ce peuple abâtardi par les mélanges incertains, décérébré par la consommation, enlaidi par le béton, les parkings, les zones commerciales ? Ce pays mourant tenu à l’écart de son destin par un État corrompu, vendu à une oligarchie obscène, comploteuse et dissimulée, ce peuple toujours plus anesthésié par les arguties d’agités télévisés et les fessiers négroïdes de putes photogéniques ? Miné par les crédits Cetelem sur vingt ans, soufflé comme un popcorn Euro Disney, baisé par une pile à roues badgée Renault ? Que puis-je raisonnablement espérer ? Une préfecture qui crame accidentellement ? Un CRS rendu cul-de-jatte par un tracteur ? Toujours plus d’OQTF pourfendeurs mortels de barrages familiaux ? Honnêtement, je ne sais pas ce que je puis attendre, cher Monsieur, puisque j’ignore ce qui surgira ou s’endormira dans l’esprit de mes compatriotes. Je crains l’apathie totale, l’anesthésie générale, la mort sans nom. Mais je suis prêt et j’espère encore, toujours.
J.-M. M.
16 notes · View notes
des-herbes-folles · 3 months
Text
Appel à contribution pour un zine sur les ruralités queers, tout médium, fin de l'appel en mai
Tumblr media
Les zones rurales ne sont pas vierges de nos histoires!
Histoires réelles, ou fantasmées, les espaces « hors ville » modifient souvent nos perceptions et nos possibles en tant que queer (et pas que).
Ces espaces apparaissent bien différents selon nos vécus, et se superposent aux enjeux préexistants entre villes et ruralités.
Car si la vie queer est évidente en ville, elle semble impalpable hors des « hameaux » de 20 000 habitantx ! ET POURTANT!
>> Partageons nos créations! Racontons nos enjeux, nos mémoires, nos réflexions, nos questionnements et les spécificités de nos environnements.
Nous attendons avec impatience vos contributions autour des ruralités en tant que personnes queer*!
Envoyez d'ici mai, de manière anonymes ou non, vos textes, images, poésies, photos, archives...à [email protected]
(et pourquoi pas préciser votre rapport aux zones hors-villes : vécus, aspirations, expériences brèves etc.!)
Ce fanzine sera imprimé avec les moyens du bord, il sera vendu à prix libre ou prix coutant et mis en libre accès sur Infokiosques.net
S’il génère quelques bénéfices, ils seront réinjecté dans de nouveaux projets avec le meme axe ou sera donné à d’autres causes de queer-précaires en galère (mutuelle TPG / frais de justice / asso de soin queer etc.) en vous consultant par mail.
Ce zine est à l’initiative d’une poignée de personnes d’un collectif queer à vocation de stimulation créative.
Il sera diffusé sous la license Creative Commons Attribution: – Pas d’Utilisation Commerciale – Partage dans les Mêmes Conditions (CC BY-NC-SA). Les droits d’auteurices restent à leur auteurices (donc vous)
Les contenus ne seront pas diffusés s’ils nous paraissent véhiculer des propos: misogynes, transmisogynes, putophobes, homophobe, lesbophobe, enbyphobe, transphobe, raciste, nationalistes, islamophobe, antisémite, xénophobe, ethnocentriste, classiste, colonialiste, grossophobe, agiste, capacitiste (/validiste), sérophobes, essentialiste, complotiste...
14 notes · View notes
homomenhommes · 4 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 83
Jeudi soir Je propose que l'on fasse appel à des traiteurs avec une demande de participation aux frais pour ceux qui travaillent et gratuit pour les étudiants. Pour les boissons, le caviste de la zone commerciale va nous bénir. Entre les vins et le champagne nous devrions en laisser aussi pour une bonne somme.
Pour passer de la maison au donjon, je vais emprunter à ma boite des passages surélevés en bois qui nous servent lors de chantier. Si il fait pas très beau ou qu'il y a de la neige (on peut rêver) nous passerons d'un bâtiment à l'autre au sec.
Quand j'ai proposé à Xavier de participer à notre touze du nouvel an, il s'est récrié que malheureusement il ne pourrait pas car le 31, ils fêtaient la nouvelle année avec des amis. Je lui qu'il pourrait nous rejoindre le 1er ou le 2. Il a sauté sur l'occasion et m'a dit qu'il ferait tout pour venir le 2. C'était un de ses phantasmes, une touze homo.
Vendredi soir,
Samir et Ammed sont venu faire le ménage. Comme les deux semaines précédentes ont été calmes, c'est assez vite fait, il n'y a que du dépoussiérage à faire au donjon. Ils nous demandent la permission d'utiliser notre salle de muscu et si ils peuvent rester dormir sur place ce soir même si il n'y a pas de service prévu pour le WE. Marc est Ok. Quand nous en discutons ensemble, je lui dis que ces deux là se sont trouvés et qu'ils vont pouvoir baiser entre eux toute la nuit.
Quand Marc et moi allons nous coucher, je vois que les fenêtres de " mon appart " sont encore allumées.
Samedi matin
Avant de partir je passe voir nos deux beurs. Samir est dans la cuisine à préparer le petit dèj. Il me remercie encore de les laisser coucher là le vendredi soir quand on entend Ammed le réclamer de sous la douche. Il a beau savoir que je sais qu'ils baisent ensemble, il rougit quand même quand on entend Ammed réclamer " aller, vient mettre ta grosse bite dans mon cul de salope ".
Je ne peux m'empêcher de les taquiner, je passe la tête dans la douche et lui dit juste de patienter un peu que Samir arrive. Il était les mains en appui sur le carrelage, présentant ses fesses. Quand il m'a entendu, il s'est tourné brusquement, j'ai pu admirer sa queue bandée et j'ai du le rattrapé sinon il allait tomber. En souriant je leur ai souhaité une bonne matinée et suis parti donner mon dernier cours de l'année, le père de Jean ferme sa boite 2 semaines à Noël.
Quand j'arrive, c'est un nouveau gardien. Il ne me connaît pas et je suis obligé de sortir mes papiers et d'attendre qu'il téléphone au secrétariat pour qu'il me laisse enfin entrer. Il est pas mal (35 ans environ) mais pointilleux !
La secrétaire m'accueille bras grand ouvert et me claque deux bises sur chaque joues (j'ai toujours eu beaucoup de succès auprès des femmes de 50ans !!).
On papote 10mn en sirotant un café car notre boss n'est pas prêt. Elle me confie qu'elle part les 15 jours au Sénégal pour se réchauffer. Dans l'oreille je lui demande si elle n'a pas oublié d'emporter des kpotes car il parait que les serveurs peuvent être très chauds au besoin.
Elle rougit et me répond que c'est seulement pour se reposer au soleil. Je lui rétorque que l'un n'empêche pas l'autre. Quand le boss sort de son bureau en jogging, et qu'il apprend que sa secrétaire part au Sénégal, il a la même réflexion que moi en ajoutant que cela participe au dépaysement !
Nous allons à la salle de sport. Je me change rapidement, nous sommes seuls. Comme il fait froid, je remplace les 5Km d'échauffement habituels en extérieur par du cardio en salle. Vélo et rameur, 1/2 heure nous fait tremper le maillot. Une fois chauds, passage aux poids, travail des pecs, épaules et bras (biceps et triceps). Les deux samedis sautés, ont laissé des marques et il peine un peu en fin d'exercice.
Je me douche avant de le rejoindre à son bureau. Sachant où sont implantées les caméras de surveillance, je prend un malin plaisir à me sécher sous des angles faisant bien voir toute mon anatomie juste au cas ou ! La secrétaire me tend une enveloppe en me disant que c'est la prime de noël et qu'elle doit se sauver. J'entre dans le bureau. A part le gardien nous ne sommes plus que tous les deux dans l'entreprise. Il sort juste de la douche, une serviette sur les reins. Je dé zippe mon cuir en m'approchant. Je sors ma queue et le poussant à genoux lui dis de sucer. Il prend ma bite à demi bandée et tète bien. Je ne tarde pas à bander totalement. Comme il m'a l'air en manque de ça aussi, j'en profite. Plus directif que d'habitude, je lui prend la tête entre mes mains et impulse la cadence. J'ajoute des réflexions crues (cette fois personne ne va nous entendre ou même risquer de venir !). Comme je vois qu'il réagit bien, j'en rajoute.
Je me penche et croche un doigt dans son cul. J'entre très facilement mon majeur. J'y ajoute l'index et je le tire vers le haut qu'il se relève. Plié à 90° il continu à me sucer pendant que je lui prépare le trou. Il gémis sans retenue sous l'action de mes doigts. J'ajoute l'index et le majeur de l'autre main et commence à écarter sa rondelle. Prêt, je me kpote et le retourne sur son bureau. Les dossiers volent quand je plaque son torse sur le plateau. Une mains sur chaque fesses, de mes pouces je les écarte dévoilant une rondelle rose vif, palpitante. Je pose mon gland dessus et attend. C'est lui même qui vient s'empaler sur ma bite. une fois, deux fois. Je prend les choses en mains. Accroché à ses hanches, je me recule jusqu'à déculer avant de le sodomiser brutalement en lui demandant si c'est cela qu'il veut. Un " ouiiiiiiiiii, encore" vient ponctuer mon mouvement.
A partir de là je ne me retiens plus, je l'encule sauvagement. Chaque pénétration lui soulève les pieds du sol (c'est vrai qu'il n'est pas grand !). Je le retourne sur le dos, lève ses jambes à la verticale et accroché à ses cuisses, je continu de lui ruiner le cul. Je dois lui en mettre pour les deux semaines passées et pour les deux à venir ! Il me demande en hoquetant de ne pas jouir dans ma kpote mais sur son visage. C'est noël je ne peux pas lui refuser !
Prêt à juter, je décule et me dékpote. Il glisse rapidement à genoux devant moi et je lui arrose le visage de mon sperme. Il ferme les yeux pour ne pas en prendre dedans mais du front au menton, je lui plaque une bonne couche de " crème " .lui finissant de se branler, se rempli les mains.
Cote à cote dans la salle d'eau attenante à son bureau, nous nous lavons et comme je le remercie pour la prime de noël, il me dit que c'est la même chose pour tous ses employés (voilà qui me remet à ma place ! mais d'un autre coté, j'émarge vraiment en tant que coach sportif). Par contre il me dit avoir eu des remarques quand à mon " embauche " de la part de son CE (Comité d'Entreprise) et il me dit que si je veux continuer il va falloir ouvrir les cours du samedi matin à tout son personnel. Je suis pas très chaud. J'ai pas de diplôme sportif. Il me dit que si j'acceptais, j'aurais une augmentation substantielle et qu'il fallait pas que je m'inquiète mais le samedi matin, je n'aurais jamais beaucoup de monde. Je peux difficilement refuser vu les conditions financières propos��es pour 2 heures de cours, 3h de mon temps avec le trajet et 4 h quand je baise le patron.
Quand je le quitte, j'ouvre mon enveloppe et en plus de l'avis de virement de la prime, un petit mot accompagne du liquide. Je peux y lire que le petit plus (qui double la prime) est pour l'excellence du travail réalisé auprès et sur mon patron !
Je rentre à la maison tout content. J'explique à Marc les derniers développements. Il me félicite et je lui propose alors de prendre à ma charge Samir et Ammed. Il me dit que tout ce qui a attrait à la maison c'est pour lui. Je lui demande alors en quoi je peux participer, il me dit que ma présence est suffisante.
Je sais je me rabattrais sur l'équipement sportif et sexuel.
JARDINIER
Tumblr media
~
Tumblr media
9 notes · View notes
ross-nekochan · 5 months
Note
Ciao, leggo del terremoto e dello tsunami, spero tu stia bene davvero, dai tag leggo che tu sei a Tokyo, a 500 km dall'epicentro e sul lato opposto dell'isola - tipo la differenza di posizione che c'è tra Palermo e Catania in sicilia , quindi le onde non dovrebbero arrivare, giusto? Spero tu sia al sicuro a parte lo spavento
Ciao!
Spavento in verità nessuno, qui i terremoti sono all'ordine del giorno e la reazione non è per niente come in Italia, dove si esce urlando di casa con soli 3 gradi di magnitudo.
Infatti in 6 mesi ne ho già sentiti 3/4+ di diverse entità, oltre questo. Semplicemente questo è stato abbastanza forte e duraturo, oltre ad essere stato annunciato dall'allarme sul telefono, a differenza degli altri. Ma la gente che era al centro commerciale dove ero io ha semplicemente fatto finta di niente e continuato a camminare come se la terra non stesse tremando.
Per il resto hai detto giusto: l'epicentro è sulla costa opposta, quindi qui non ci sono conseguenze. Al momento c'è uno tsunami e stanno evacuando il lato costiera e la penisola di Noto*, che sono le zone più in pericolo.
8 notes · View notes
luma-az · 10 months
Text
En mer
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 18 août 
Thème : sieste/oui mon capitaine
. .
Partout, une mer d’azur s’étale à perte de vue. Le bateau est le seul point dépassant sur l’horizon. En dehors d’une petite brise, à peine suffisante pour avancer, c’est ce qu’on pourrait appeler le calme plat.
Perché dans le nid-de-pie, je succombe à la tentation d’une petite sieste. Après tout, qu’est-ce qui pourrait arriver ?
.
Le bateau est désert.
Je ne comprends pas. Je me suis réveillé à peine une heure après avoir fermé les yeux, deux peut-être, trois grand maximum ! Ils ne peuvent pas avoir tous disparus aussi vite ! Et où est-ce qu’ils seraient passés ?
J’arpente le pont comme une âme en peine, en appelant mes camarades. En vain. L’angoisse me tord les tripes. Il n’y a aucune trace de lutte. Toutes leurs affaires sont encore là. Le café est froid dans la tasse du capitaine. Les dés des gars qui n’étaient pas de quart sont encore posés par terre, à coté des piécettes. Ça n’a aucun putain de sens !
Je cours partout, je cherche. Je regarde dans la mer, mais je ne vois aucune trace. Comme il n’y a plus personne à la barre, le bateau s’est mit vent debout et il est resté dans la même zone depuis, je pourrais voir quelque chose – un foulard, un chapeau, n’importe quoi qui flotterait sur les vagues et me dirait une bonne fois pour toute qu’ils sont tombés à l’eau. Mais non, je ne vois rien.
Ne pas paniquer ne pas paniquer ne pas…
Je cours jusqu’à la cuisine. Les réserves d’eau et de nourriture sont intactes. En étant seul, je devrais pouvoir tenir des m…
Mais je ne vais pas rester seul aussi longtemps, bien sûr. Comment je pourrais être seul aussi longtemps ? Quelqu’un va forcément me trouver avant ! On est sur une route commerciale, quelqu’un va voir le navire, et…
Je fouille dans la malle à pavillon et en sort ceux qui indiquent une urgence vitale, et que le bateau se rend sans résister. Peut importe qui me trouvera, ils viendront !
Maintenant, il faut que… il faut que je m’organise. Le bateau est bien gréé, si je reprends la barre je peux avancer. Même si je ne suis pas sûr de la direction. Je ne suis pas capitaine ni officier, moi, je n’ai jamais eut à faire tous ces calculs compliqués, mais je saurais à peu près me repérer au soleil ! Et je ne veux rien de bien extraordinaire, juste me rapprocher de la côte. Oui, oui, plus je serais proche des terres, plus il y a des chances qu’on me voit et qu’on vienne  me sauver. Oui. Ce n’est qu’une question de jours. De semaines, tout au plus. Tant que je ne croise pas de tempête, je peux m’en sortir. J’en ai pour des mois de provisions, après tout.
.
Je ne sais pas depuis combien de temps nous errons en mer.
Au moins je ne suis plus seul. J’ai fabriqué le coq Brisepâte, pour me tenir compagnie quand je fais l’inventaire des vivres. Le mousse Filedroit, pour les moments  où j’ai envie de me lancer dans de grandes explications sur le métier de marin ou de lui raconter mes aventures excitantes. Les matelots Bonnepinte, Grandepinte et Bellechopine, pour les soirs où j’ai envie de boire un petit coup. Bizarrement, j’ai fini le rhum bien avant de finir la farine à biscuits.
Ah, et j’ai aussi fait le capitaine Briselame – aucun lien de parenté avec le coq. Ma fierté, honnêtement. Il est habillé avec les vrais vêtements du capitaine, il a même son monocle, et il a une paire de moustaches en étoupe qui ferait peur à n’importe quel abordeur. Il me rassure quand je me sens perdu. Je lui parle beaucoup. Il me répond parfois. Sans lui, je ne sais pas comment je m’en serais sorti vivant quand j’ai affronté la première tempête. Bon, le bateau est dans un piètre état, c’est plutôt une épave à la dérive maintenant qu’un vrai navire, et mes espoirs d’atteindre une côte fondent comme neige au soleil. Mais je suis vivant. Merci mon capitaine.
J’ai faim. J’ai mangé la viande séchée. J’ai mangé les fruits secs. J’ai mangé les biscuits. J’ai mangé la farine. J’ai mangé les vers qui mangeaient la farine. J’ai mangé les pommes, aussi. Enfin, celles qui n’ont pas fini  dans ma tentative de faire de l’alcool maison. C’était atroce, mais ça m’a occupé un moment.
Maintenant, je n’ai plus grand-chose à faire à part regarder l’horizon. Le capitaine tient la barre, aidé de quelques cordages. C’est important de maintenir le cap, même si c’est dur vu le peu de gouvernail qu’il reste.
Je regarde l’eau en rêvassant quand j’entends le chant.
Jamais encore je n’avais entendu un chant aussi beau. Comme si les portes du paradis s’étaient ouvertes pour moi. Je me penche et là, sous les vagues, dans l’eau cristalline, je les vois tous ! Tout l’équipage est là, qui me sourit et me fait des grands gestes pour que je les rejoigne. Des sirènes sont avec eux. Mais c’est bien sûr ! Ce sont elles qui les ont sauvés, il y a si longtemps !  Je n’ai plus qu’à les rejoindre !
Je commence à enjamber le bastingage quand j’entends le capitaine Briselame qui crie, de sa voix de tonnerre :
« Dégage-moi tout ça et remonte sur le pont !
— Mais… ce sont des sirènes !
— Justement, espèce d’imbécile ! Elles viennent pour te noyer et te dévorer, comme tous les autres ! Remonte tout de suite et va te mettre de la cire dans les oreilles jusqu’à ce qu’elles se lassent !
Je suis déchiré. Je n’en peux plus de vivre comme ça. Je ne veux plus !
Mais dans ce monde de folie, j’ai reçu un ordre, et c’est la seule chose qui a encore du sens, alors qu’est-ce que je pourrais répondre d’autre que :
— Oui mon capitaine ! »
.
.
15 notes · View notes
gregor-samsung · 11 months
Text
“ Il primo dei “lupi solitari” a entrare in azione è stato il norvegese Anders Breivik: il 22 luglio 2011 ha compiuto la strage di sessantotto giovani radunati per un seminario nell'Isola di Utoya in Norvegia. Gesti come questi fanno scattare l’emulazione. Pochi mesi dopo, il 13 dicembre, c’è una strage a Firenze in pieno centro: due migranti senegalesi, Samb Modou e Diop Mor, vengono uccisi da un estremista di destra, sostenitore di Casa Pound, Gianluca Casseri, che si suicida per evitare l’arresto. Un altro “lupo solitario”, David Sonboly, un diciottenne tedesco di origine iraniana, il 22 luglio 2016 uccide nove persone nel centro commerciale Olympia di Monaco. Il 3 febbraio 2018, a Macerata un raid razzista: Luca Traini, ventottenne leghista e ammiratore di Hitler, spara dalla propria auto in corsa in alcune zone della città, ferendo sei persone, tutti africani, colpevoli di avere la pelle nera come l’assassino della povera Pamela Mastropietro. Al suo arresto fa il saluto romano. Il 13 maggio 2019, il suprematista Brenton Tarrant uccide a Christchurch in Nuova Zelanda quarantanove musulmani che pregavano in due moschee e ne ferisce altri quarantotto. Sul fucile, usato, c’era scritto il nome di Traini. Prima di compiere un tale orrendo gesto, aveva messo in rete il suo manifesto: “Il genocidio dei bianchi, causato dall'immigrazione di massa”. Il 28 settembre dello stesso anno l’americano Patrick Crusius uccide ventidue persone a El Paso (Texas), ferendone altre ventiquattro. “Difendo il mio Paese dalla sostituzione etnica e culturale portata avanti da un’invasione.” Gli stessi messaggi di odio che si ritrovano sul social di Tarrant. Pochi giorni dopo, il 9 ottobre, un attentato antisemita: Stephan Balliet, ventotto anni, estremista di destra, durante la festa ebraica dello Yom Kippur, prende d’assalto la sinagoga di Halle (Germania), dove si trovano cinquantadue fedeli. Non riuscendo a entrare, uccide a caso due passanti e un ragazzo di vent’anni in una tavola calda. Prima dell'azione aveva pubblicato un documento nel quale affermava che “la radice di tutti i problemi sono gli ebrei”. Per poi aggiungere: “Gli Stati hanno l’obiettivo di uccidere il maggior numero di anti-bianchi, meglio se ebrei”.
Sembra che, nella sola Germania, siano oltre dodicimila le persone appartenenti a gruppi neonazisti. E questi gruppi sono spesso armati. Sempre in Germania, un’altra strage di nove stranieri è avvenuta a Hanau il 20 febbraio 2020. Morto anche il “lupo solitario” che aveva scritto: “Alcuni popoli che non si riescono a espellere dalla Germania vanno sterminati”. Nel solo 2020 sono stati sciolti tre gruppi neofascisti pronti alla lotta armata. Ritornando nel nostro Paese, vorrei sottolineare l’arresto il 22 gennaio 2021 di Andrea Cavalleri, un ventiduenne di Savona. Voleva imitare Anders Breivik e Brenton Tarrant, mosso da un’ideologia suprematista. Contava di realizzare stragi tramite il suo gruppo il “Nuovo Ordine sociale” che propagandava sul canale Telegram “Sole Nero”. È accusato di associazione con finalità di terrorismo, di incoraggiare a compiere massacri nelle scuole. “Io una strage la faccio davvero. L’unica cosa da fare è morire combattendo. Ho le armi. Farò Traini 2.0.” Oltre agli ebrei, il giovane savonese aveva preso di mira anche le donne. “Gli ebrei sono il male primo da eliminare.” In quel giorno saranno dodici le perquisizioni nei confronti di persone legate al giovane ventiduenne, nelle città di Genova, Torino, Cagliari, Forlì, Cesena, Palermo, Perugia, Bologna e Cuneo. Questa è la chiara manifestazione di quanto sia esteso il fenomeno dell'estrema destra e del suprematismo bianco anche nel nostro Paese. “
Alex Zanotelli, Lettera alla tribù bianca, Feltrinelli (collana Serie Bianca); prima edizione marzo 2022. [Libro elettronico]
17 notes · View notes
fredericbrumby · 13 days
Text
Tumblr media
Décor urbain
Zone commerciale
Rue Lavoisier
01960
Péronnas
4704
62 notes · View notes
tgregoire · 2 years
Photo
Tumblr media
Crêches-sur-Saône - Saône-et-Loire - Juin 2022
9 notes · View notes
roadtripitalie2024 · 13 days
Text
Lundi 20. 21h
De loin la journée la plus éprouvante à tous les niveaux. On a dû changer les plans en fonction de l'évolution de la météo.
Digne les Bains nous a été fatal.
Une pluie torentielle, des orages. On est absolument trempés jusqu'à l'os en quelques secondes. Mais vraiment TOUT trempés. On s'arrête, la pluie, elle, continue à fond !
On va dans une zone commerciale en espérant trouver des toilettes et des sèches-main..., pas trouvé, on se pose manger un bout pour se réchauffer et reprendre nos esprits. En payant, la serveuse me demande si je veux un café, je lui réponds que je préfèrerais un moyen pour sécher mes affaires. Elle me dit: mais vous avez un lavomatic juste derrière ! On a campé là-bas le temps de tout sécher. On a tout mis dedans, les pantalons et vestes avec protections moto, les godasses, les gants... si on avait pu mettre nos casques on l'aurait fait. On se change. On repart, on a perdu 3h. Au bout de 10km, je me rends compte qu'alban n'a pas son sac à dos! On a un petit moment de panique. Demi tour. À ce moment précis, ce qui nous est le plus utile c'est de rester positif !La pluie se remet à tomber, tout était sec... et puis.... bon vous voyez l'idée... génial ! Par chance le sac nous attendait dans le lavomatic. On decide de s'arrêter à Grenoble mais on n'a aucune idée de l'heure à laquelle on va arriver, ni dans quel état. Franchement on en mène pas large...
On arrive tard à Grenoble. Il pleuviote. La vallée du Trièves est vraiment belle. Le temps est gris et menaçant. On avance. On a froid, surtout dans le col de Lus la croix haute, à 1170m d'altitude.
Demain on part à 8h, on veut absolument être à Chartres avant le coucher de soleil.
2 notes · View notes
alain-keler · 3 months
Text
Tumblr media
JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE / SPÉCIAL BNF / J-4
L'exposition "La France sous leurs yeux." Deux cent regards de photographes sur les années 2020, à la Bibliothèque Nationale de France, site François Mitterrand, du 19 mars au 23 juin 2024.
Après une si longue absence 
L’Auvergne est la région qui m’a vu naitre et dans laquelle j’ai vécu jusqu’à l’âge de onze ans. L'Auvergne, dans la zone libre, fut aussi la région de refuge de mes parents et de mes grands-parents pendant la seconde guerre mondiale. Mes grands-parents, chassés par l'antisémitisme et la pauvreté en Pologne sont venus y chercher un refuge. Refuge éphémère puisque la déportation les rattrapa. Pour eux un voyage sans retour. Pour moi une Histoire de vie, de mort. Une histoire d’une certaine France, celle de mon enfance.
Mardi 31 mai 2022.
La Chaumette, Haute-Loire. RDV avec Anaïs. Elle est technico commerciale, vend et assure des suivis et conseils techniques de produits naturels pour le travail du sol. C’est par le cousin de Claude, la femme de mon plus vieux copain Henri que j’ai eu ce contact. On a rendez-vous avec Pierre, 26 ans, exploitant agricole, 70 hectares, 110 à 120 bêtes, viande et veaux de boucherie (veaux sous la mère), c’est comme ça que l’on dit. Il est seul à travailler dans l’exploitation.
Anaïs est super pro et très sympa, jeune comme l’exploitant photographié.
© Alain Keler /MYOP/Grande commande photojournalisme
#Grandecommandephoto #RadioscopiedelaFrance #BnF #ministeredelaculture #Photojournalisme#photographie #France #lafrancesousleursyeux
2 notes · View notes
downhill-rp · 4 months
Text
Les quartiers de Downhill
⸻ centre-ville, Old Towne
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Cœur bourdonnant de Downhill, le centre-ville rivalise d'inventivité pour offrir de quoi faire à ses habitants et les quelques visiteurs qu'il accueille tout au long de l'année. Presque tout y est toujours ouvert, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, si bien qu'on ne peut jamais s'y ennuyer. C'est comme si la ville n'avait jamais besoin de trouver le sommeil. Si le centre-ville accueille avant tout de nombreux commerces et les bureaux de diverses entreprises, on peut malgré tout y trouver des logements qui varient entre des appartements étroits mais abordables aux grands appartements et lofts luxueux.
⸻ ceinture urbaine, Parker's Lane
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Banlieue qui encercle le centre-ville, Parker's Lane n'était au départ qu'une simple avenue, mais les années et l'expansion de la ville l'ont forcée à s'étendre jusqu'à ce qu'elle devienne la ceinture qu'elle est aujourd'hui, avec ses nombreux bras qui s'étendent vers l'horizon. Bien moins animé que le centre-ville, Parker's ressemble plus à l'image que l'on se ferait d'une petite ville américaine sans importance. Ici, on oublie les grandes chaînes commerciale, on n'y trouve que de petites boutiques locales et sans ambition. Vivre à Parker's revient aussi beaucoup moins cher que le centre-ville, avec l'avantage de pouvoir s'offrir une maison.
⸻ zone industrielle, Eastwater
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Eastwater a la réputation qu'il mérite, malgré son nom qui rappelle le sens de l'humour des habitants. Coin reculé de la ville, un peu délaissé par le temps et abandonné par le désintérêt du reste de la ville. Ce sont vieux entrepôts, usines encore en activité et endroits insalubres qui peignent une grande partie de son paysage. En se rapprochant de la ville, on y retrouve des maisons, moins grandes qu'à Parker's Lane et bien plus délabrées, ainsi qu'un trailer park et surtout, en face de ce-dernier, son motel miteux mais tant adoré.
⸻ zone résidentielle, Cove Road
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Une immense maison avec vue sur la mer, est-ce que ce ne serait pas ça le rêve américain ? C'est en tout cas ce que pensaient ceux qui ont construits Cove Road, au diable les arbres centenaires, on veut un vrai paysage qui donne envie de se réveiller le matin. Cove Road est un endroit idyllique, qui donne l'impression de ne pas vraiment avoir sa place ici en plein milieu de l'Indiana. Les plus fortunés de Downhill y ont élu domicile dans leurs grandes et belles maisons qui valent des centaines de milliers, voire beaucoup plus. Et ils s'y sentent merveilleusement bien.
⸻ lac et alentours, Chester's Lake
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Les forêts qui encerclent la ville et les alentours qui donnent des frissons à tout ceux qui oublient que la nature sauvage reprend toujours ce qui lui revient de droit, son lac immense qui ferait rougir de honte le lac Michigan, et surtout ses brouillards épais et inquiétants qui décorent le bon matin. Il y a aussi le club de paddle et d'aviron au bord du lac, une adorable petite escapade nautique pour ceux qui n'ont pas peur de tomber à l'eau.
2 notes · View notes
savoir-entreprendre · 5 months
Text
Tumblr media
L' expérience client est au cœur de toute entreprise prospère. Offrir un service exceptionnel et mémorable peut transformer des clients occasionnels en adeptes fidèles. Mais comment garantir une expérience qui se démarque dans l'esprit de vos clients ? Voici un guide détaillé de quatre clés essentielles pour créer une expérience client inoubliable. 1. Personnalisation à la Pointe L'ère du "one-size-fits-all" est révolue. Les clients d'aujourd'hui cherchent des expériences personnalisées. Utilisez les données disponibles pour comprendre leurs besoins, leurs préférences et leurs comportements. Que ce soit par le biais de recommandations de produits ciblées ou de communications sur mesure, la personnalisation crée un lien spécial entre votre entreprise et vos clients. 2. Communication Transparente et Efficace La transparence est la clé d'une relation solide avec vos clients. Assurez-vous que vos politiques, vos processus et vos engagements sont clairs et accessibles. Répondez rapidement aux questions et aux préoccupations. Une communication ouverte et efficace établit la confiance et renforce le lien avec votre clientèle. 3. Simplification de l'Expérience Client Moins c'est parfois plus. Simplifiez le parcours client autant que possible. De l'achat en ligne à l'assistance après-vente, chaque interaction doit être intuitive et sans tracas. Réduisez les frictions en simplifiant les processus, en optimisant les interfaces et en offrant une navigation fluide à vos clients. 4. Écoute Active et Amélioration Continue L'écoute active est une pratique essentielle pour une expérience client exceptionnelle. Recueillez régulièrement les retours de vos clients, que ce soit par le biais d'enquêtes, de commentaires en ligne ou de forums dédiés. Utilisez ces informations pour identifier les zones à améliorer et pour apporter des ajustements continus, démontrant ainsi votre engagement envers l'amélioration constante. En somme, l'expérience client inoubliable repose sur la personnalisation, la transparence, la simplification et une volonté d'écoute et d'amélioration continues. En intégrant ces quatre clés dans votre approche commerciale, vous pouvez non seulement satisfaire vos clients, mais également les fidéliser pour longtemps, bâtissant ainsi une base solide pour la croissance et le succès de votre entreprise.
2 notes · View notes